French Cancan
Jacques Offenbach,
arrangé par Claude Mazuret
Celui qui emporte les foules, qui galvanise un public médusé qui n’en revient pas. Il faut dire que le spectacle du corps de ballet entraîné par Maurice B. (qui, tiens bizarrement, ne danse pas à cette occasion…), ne manque pas de piquant. Nos petits rats lèvent si promptement leurs gambettes qu’on s’imagine aisément dans l’ambiance des folies bergères (à porc bien sûr). Le final est une apothéose : Florence et Nathalie, s’écroulent, vidées, mais dans un grand écart qui en laisse plus d’un baba et qui achève de transporter les foules au septième ciel dans un tonnerre (de Brest) d’applaudissements.