Je ne regrette rien
Edith Piaf, adaptation de Tom Boul de la Pekno Parade
Un air que nous avons généreusement emprunté aux Peknos et que nous avons monté en trois coups de cuillère à pot, ce qui est assez rare pour le souligner. On en profite donc pour tirer notre chapeau à la rangeure… La fanfare n’a qu’un point fort : jouer fort. Cette qualité s’exprime pleinement dans ce morceau plein de nuances, joué entièrement pp (plein poumons) et notamment à la fin, où le crescendo de l’accord final commence doucement sur une nuance ff (fortement faux) pour s’achever ffffff (fachement fuper fantastinouïment fortement faux).