Les percussions
PQ ou PerQ ou Percu : Notre boîte à rythme à nous. Et sans rythme, pas de fanfare ! Pour vous dire comme il est important, ce pupitre. C’est la grosse caisse qui nous entraîne et nous inculque un minimum de discipline musicale – son absence est terriblement remarquée lors des répés et inconcevable lors des sorties. Sa taille et son poids remarquables ne l’empêchent pas d’être l’instrument le plus mobile de la fanfare en raison de la PTT (Poussette Tout Terrain) qui permet de la véhiculer sans grosse difficulté d’un trottoir à l’autre ou d’un bar à l’autre. C’est Annie qui tient sa mailloche depuis la préhistoire de la fanfare. Et c’est l’autre moitié du binôme, Guillaume, à la caisse claire qui pimente les rythmes tropico-léonards du répertoire zébalizien et dont la justesse rythmique rend envieux de nombreuses autres fanfares. Jean-Luc, ancien pilier et ancêtre des percussions, nous suit maintenant de loin en loin.
Ce binôme est en fait un trinôme, dont la troisième partie est constituée d’un banjoïste ( ?) aussi appelé Ivan, qui semble, par la puissance de son son, relativement absent, mais qui, en fait, écoutez bien, est très, très présent !